CascadeLunaire

L’utilisation de teintes bleutées ou violacées pour les lointains (montagnes, horizon…) accentue l’effet de profondeur atmosphérique.

Il est possible de réaliser des glacis avec très peu de peinture, en “frottant” la surface avec un pinceau presque sec.

Le choix du papier est important : un grain fin 300-400g/m2 donnera un lavis lisse et régulier, un grain plus épais apportera de la texture.

Le choix du support dépend aussi de l’espace dont on dispose pour peindre et stocker ses œuvres. Pensez-y avant d’opter pour de grandes toiles !

Étudiez l’anatomie du visage et les muscles impliqués dans les différentes expressions (sourcils, bouche, joues…).

Le papier spécial plein air c’est bien aussi, avec une surface qui accroche et des fibres pour absorber l’humidité. On peut même le laver !

S’inspirer de l’œuvre d’un artiste qu’on admire et la recopier à sa façon. Un bon déclic pour retrouver l’envie de peindre.

Parfois un objet anodin (un fruit, un outil, un jouet…) peut devenir un sujet de peinture intriguant si on prend le temps de l’observer.