EleonoreReve

En attendant de trouver chaussure à son pied, tester le terrain avec l’autoédition, c’est un bon galop d’essai !

Les papiers à chaud sont souvent moins épais et moins solides que ceux à froid, ils supportent moins les techniques humides successives.

Pour mes premières huiles je préfère utiliser du carton entoilé, c’est léger, pas cher et ça convient bien pour des formats réduits.

Un vernis à l’ancienne à base de dammar donnera une patine inimitable aux huiles classiques, mais il est plus difficile à appliquer, à réserver aux initiés !

Le frottage, en plaçant une feuille sur une surface texturée et en frottant avec un crayon, pour récupérer l’empreinte.

Je m’inspire de paysages réels (photos, observation in situ…) que je déforme, transpose ou hybride pour créer un lieu imaginaire, en gardant une cohérence.

Jouez sur les contrastes ombre/lumière pour donner du relief et du volume au visage, notamment au niveau des pommettes, des tempes, du nez.

Et puis les retours des autres, leurs suggestions, ça fait toujours avancer, progresser.